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4 mars 2009

PAS DES « TCHEQUES EN BOIS »

coupe_20davisLa Coupe Davis reprend ce weekend. La France aura fort à faire pour battre la République tchèque chez elle, à Ostrava. Les hommes de Guy Forget devront notamment se défaire des redoutables Radek Stepanek et Tomas Berdych.

Guy Forget n’a pas encore donné sa composition d’équipe mais quelle qu’elle soit, elle aura fière allure. Composé de quatre joueurs faisant ou ayant fait partie du Top 10 mondial, l’équipe alignée face à la République tchèque de Tomas Berdych sera compétitive. Entre Jo Wilfried Tsonga, récent vainqueur du tournoi de Marseille et Gaël Monfils, finaliste le weekend dernier à Acapulco, les Bleus semblent bien partis pour passer l’obstacle tchèque.
Il faut néanmoins ne pas prendre ce match à la légère. Tout d’abord parce qu’il s’agit d’un premier tour dans une compétition et que c’est toujours compliqué. Ensuite parce que la rencontre se joue à Ostrava devant plus de 10 000 supporters Tchèques gonflés à bloc pour soutenir leur équipe. Et surtout parce que l’équipe de Radek Stepanek à des arguments. Dans ses rangs figure un ancien Top 5, Tomas Berdych, dont le niveau de jeu varie entre l’excellence et le très moyen. Espérons pour les Tricolores qu’il ne sera pas dans un grand jour.
Autre maillon fort de l’équipe : Radek Stepanek. L’ancien petit copain de Martina Hingis a joué le Master en fin de saison dernier. Pour remplacer un forfait certes, mais cela prouve néanmoins sa valeur. Capable de battre n’importe qui avec son jeu atypique (victoire sur Federer), cet adepte du service-volée reste un joueur compliqué à manœuvrer.
Néanmoins, cette étape ne semble pas insurmontable pour nos Bleus qui, si ils jouent avec sérieux, application et passion peuvent espérer aller plus loin dans la compétition. L’équipe de France n’a pas ramené le saladier d’argent depuis 2001, une erreur à réparer dès cette année.

Bastien SCHAMBILL

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4 mars 2009

Noah/Tsonga, twin towers...

Alors que Jo-Wilfried Tsonga se prépare à disputer en fin de semaine la rencontre de Coupe Davis contre la République Tchèque, nous nous sommes amusée à jouer au petit jeu des comparaisons entre Tsonga et Noah. Une filiation logique existe entre Yannick Noah, premier champion métis et emblème du tennis français depuis trente ans, et Jo-Wilfried Tsonga, lui aussi enfant de couple mixte, mère française, père africain.

«Jo possède un énorme coup droit que n'avait pas Yannick»
Mais sont-ils si semblables que cela ? Pour le savoir, L'Equipe a consulté de nombreux témoins de la carrière de Noah comme Patrice Beust, son premier coach, Patrice Hagelauer, son principal entraîneur, des joueurs (Leconte, Tulasne, Forget ou Winogradsky, joueur du temps de Noah et aujourd'hui entraîneur de Tsonga).

Le jeu les différencie. Selon Hagelauer, « Yannick était un attaquant très orienté vers le filet, Jo est plus un attaquant de fond de court (...) Jo possède un énorme coup droit que n'avait absolument pas Yannick. Il a un revers à deux mains, celui de Yannick était coupé et lui servait souvent à faire des approches. » Pourtant, toujours selon « Hagel », les deux joueurs ont en commun une énorme défense, une très bonne vision du jeu et un très bon déplacement.

Tsonga «tranquille», Noah «flambeur»
Humainement, hormis leur gabarit « la similitude réside dans ce mélange de douceur et de force de caractère », selon Forget. Mais en dehors du court « Jo a envie d'une vie tranquille. Yannick était beaucoup plus flambeur », estime Tulasne. Tsonga, tout comme Noah, se révèle être un leader, un meneur. « Ils ont du charisme naturellement tous les deux », résume Tulasne.

Alors vrais ou faux jumeaux ? A vingt-trois ans et dix mois, l'âge de Tsonga aujourd'hui, Noah venait de gagner Roland-Garros après cinq ans de carrière pro. Celle de Tsonga n'a démarré vraiment qu'il y a deux ans et demi. Le bilan définitif sera pour plus tard...

Fertouc Jérémie IEJ3A

4 février 2009

A Melbourne,Bartoli et Cornet confirment leurs progrés

Le bilan des Françaises à Melbourne est positif. Après avoir réussi la performance de dominer la n°1 mondiale, Jelena Jankovic en huitièmes de finale, Marion Bartoli n'a pas pesé lourd au tour suivant contre la Russe Vera Zvonareva (6-3, 6-0). La Marseillaise qui n'avait encore jamais atteint les quarts de finale à Melbourne doit être satisfaite de ses performances.

Alizé Cornet elle non plus n’a pas à rougir de son parcoursen Australie. Elle a failli rejoindre sa compatriote Marion Bartoli en quart de finale mais s’est inclinée de justesse en 8e face à Dinara Safina. La jeune Niçoise de 19 ans a pourtant eu deux balles de matches contre la future finaliste de ce tournoi du Grand Chelem... Malgré cette déception, elle est cependant repartie de Melbourne avec le sentiment du devoir accompli. 

Les deux jeunes françaises se sont donc classées parmi les 16 meilleures joueuses de tennis de ce tournoi. Espérons qu'elle confirme les progrès démontrés en Australie. Ce n'est pourtant pas la joie pour toutes les Bleues. Amélie Mauresmo a elle déçue. L'ancienne numéro 1 mondiale qui tente de retrouver son meilleur niveau s'est inclinée au 3e tour face à la Bélarusse Victoria Azaranka.

Il n’y a désormais plus aucun doute, l’avenir du tennis français féminin est entre les mains de Marion Bartoli et d’Alizée Cornet. Avec un peu plus d’expérience dans les moments clés, elles peuvent espérer confirmer leurs progrès démontrés dans ce tournoi. Pourvu que ça dure. 

Van Den Bossche Alexandre

3 février 2009

UN CAP A PASSER

L'Open d'Australie, qui s'est terminé par la victoire de l'Espagnol Rafaël Nadal, a permis de se faire une idée plus précise de la forme des Français en ce début de saison. Aucun d'entre eux n'a dépassé les quarts de finale mais chacun aura assumé son statut dans la chaleur de Melbourne.

Jo-Wilfried Tsonga était celui qui avait le plus à perdre durant ce premier tournoi du Grand Chelem de l'année. Finaliste l'an dernier et arrivé avec un lumbago en Australie, le N.6 mondial avant la compétition aurait pû se laisser submerger par la pression. "Jo" a encore impressionné en se frayant un chemin jusqu'en quart de finale, éliminant notamment l'Américain James Blake (N.9) en huitième. Arrêté par l'Espagnol Fernando Verdasco (N.14), le Manceau peut se rassurer en se disant que son bourreau est en ce moment dans une forme étincelante, comme l'atteste sa demi-finale anthologique contre Rafaël Nadal.

Gilles Simon se devait de confirmer sa fin de saison dernière. Après avoir intégré le Top 10 puis le Masters, le nouveau N.1 français se devait de faire mieux qu'un troisième tour, son meilleur résultat en Grand Chelem jusqu'alors. Mission accomplie pour Simon: battu seulement en quarts par le futur vainqueur et N.1 mondial, Rafaël Nadal, le Français a confirmé aux yeux de tous son entrée dans la cour des grands.

Gaël Monfils, bien que plus précoce que Gilles Simon, avait sensiblement les mêmes objectifs que ce dernier. Eliminé par son compatriote sur forfait en huitième de finale, le parcours du nouveau N.12 (+1) mondial a confirmé sa forme ascendante de ces derniers mois. L'association depuis l'an dernier avec son entraîneur Tarik Benhabilès semble fonctionner.

Enfin, Richard Gasquet (N.25) peut espérer une année 2009 plus fructueuse que la précedente. Fort d'une volonté que l'on ne lui avait encore jamais connu, celui qui est peut-être le plus talentueux des quatre leaders français semble sur la bonne voie. Eliminé en 16ème par le Chilien Fernando Gonzales au terme d'un match exeptionnel, c'est la première fois que Gasquet donne la sensation d'aller au bout de ses limites.  En répétant ce genre de perormance, nul doute que son classement devrait évoluer.

Doté d'une génération exeptionnelle, le tennis français n'est pas loin d'atteindre les sommets. Il ne manque pas grand chose à nos mousquetaires pour aller titiller le Top 5 mondial. Un poil de mental pour l'un, une plus grande régularité technique pour l'autre, ou un physique enfin épargné par les blessures: seuls quelques détails empêchent les Bleus d'aller encore plus haut. Pour combien de temps encore?

LECOURT Jean-Charles

26 janvier 2009

UN AIR DE COUPE DAVIS

fr_espagne_1_Gilles Simon et Jo Wilfried Tsonga se sont qualifiés cette nuit pour les 1/4 de final de l’Open d’Australie. Opposés respectivement à Gaël Monfils et à James Blake, les deux bleus n’ont pas fait dans la demi mesure. Vainqueur sur abandon de son compatriote au début du 4ème set, Gilles Simon se prépare à affronter l’ogre Raphaël Nadal. Le Majorquin, numéro 1 mondial, n’a pas perdu un seul set depuis le début de la compétition. Le défi s’annonce donc rude pour Simon, même si leur dernier match s’était soldé par une victoire du Niçois.
De son côté, Jo Wilfried Tsonga a impressionné. Pourtant, son adversaire, James Blake avait annoncé vouloir s’imposer. Mais le Manceau a surclassé l’américain, 10ème joueur mondial, en trois sets secs (6-4, 6-4, 7-6). En quart, il affrontera l'Espagnol Fernando Verdasco, vainqueur surprise de l’un des favoris, Andrew Murray. Un match peu évident, mais compte tenu de la forme actuel affiché par le finaliste de l’an dernier, rien ne semble impossible.
Les deux tricolores, en cas de victoire pourraient s’affronter pour un place en finale. Mais pour cela, il faudra passer l’obstacle proposé par les deux Espagnoles. L’Open d’Australie prendra donc un accent de coupe Davis à suivre dans la nuit de mardi à mercredi.

Bastien SCHAMBILL

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22 janvier 2009

LES 4 FANTASTIQUES AU 3ème TOUR

l_enigme_du_double_actus_1_

Nos quatre mousquetaires, Jo Wilfried Tsonga, Gilles Simon, Gaël Monfils et Richard Gasquet ont remporté leur second tour dans la nuit. L’Open d’Australie sourit au français. Victorieux sans trop de difficulté de leur premier tour, les bleus ont réussi à passer l’obstacle du second tour. Tout ne fut pas simple pour autant notamment pour Jo Wilfried Tsonga. Le Manceau opposé à Ivan Ljubijc actuel 55ème joueur mondial mais ancien numéro 3 à l’ATP a du sortir le grand jeu pour se défaire du Croate. Quatre sets et trois tie-break auront permis au numéro un français de rencontrer Dudi Sela au prochain tour.

Gaël Monfils a lui aussi eu besoin de quatre sets pour se débarrasser de Stefan Koubek (6-4, 6-4, 3-6, 6-2) et retrouvera Nicolas Almagro au prochain tour. De son coté Gilles s’est imposé face au géant australien Chris Guccione et à son service ultra puissant (6-7 [5], 6-4, 6-1, 6-2). Quant à Richard Gasquet, il n’a pas trainé sur le court pour éliminer Denis Istomin (6-3, 6-4, 6-4). Néanmoins, l’ex numéro un français a joué sous anti-inflammatoires suite à une douleur à l’épaule survenue lors de son premier tour. Il devra être en pleine possession de ses moyens pour affronter le Chilien Fernando Gonzalez finaliste du tournoi en 2007. Un troisième tour un peu plus ardu donc pour nos quatre fantastiques mais rien d’insurmontable. Ils peuvent tous espérer se qualifier pour les 8ème de final.

Bastien SCHAMBILL

21 janvier 2009

Cornet et Bartoli sauvent la mise

20 janvier:  Open d’Australie

Alizée Cornet et Marion Bartoli continue leur joli parcours dans l’Open d’Australie et su qualifie pour le 3e tour. La niçoise s’est facilement imposé face à l’Allemande Petkovic (6-1 6-0) et Marion Bartoli a vaincu en deux sets la bulgare Pironkova (7-5 6-2).
En revanche, Nathalie Dechy et Mathilde Johansson se sont inclinées face à Ai Sugyama et contre Daniela Hantuchova.
Chez les hommes, la journée d’hier a été négative. Jérémy Chardy  n’a pas crée l’exploit face au tenant du titre Novak Djokovic (7-5, 6-1, 6-3). Paul-Henri Matthieu a lui perdu de justesse 9-7 dans le 5e set qui l’opposait à Amer Delic.

Van Den Bossche Alexandre

21 janvier 2009

Alizée Cornet se dévoile

1 000 euros d’amende. C’est la somme que devront payer les joueuses dont la tenue n’est pas jugée réglementaire ou « trop sexy » par l’arbitre. Alizée Cornet est à l’origine de ce règlement. Durant la Hopman Cup, elle a porté une jupe « trop courte » selon les organisateurs qui a choqué de nombreux spectateurs.
La niçoise s’est expliquée  face à cette polémique : « mes jupes ne sont pas plus courtes et mes hauts ne sont pas plus transparents que ceux des autres ».La talentueuse française se justifie avec le sourire : « je suis une fille complètement normale, je n'ai pas grand-chose à mettre en valeur et je ne possède pas forcément la poitrine la plus opulente du circuit. Je ne suis pas celle qui a le plus de formes, donc ça me fait bien marrer, les autres filles me chambrent un peu aussi. »

Van Den Bossche Alexandre

21 janvier 2009

Entretien avec un futur champion

La saison de tennis professionnels vient de redémarrer. Pour les spécialistes comme pour les autres. Ary Benssoussan, 15 ans, classé -30 rêve un jour de devenir professionnel. Nous l’avons rencontré. Il nous explique, entre autre, la difficile réalité des jeunes pour devenir pro.

Ary, pourquoi souhaite-tu devenir joueur professionnel?

C’est mon rêve depuis toujours. Mon grand frère m’a beaucoup inspiré, il jouait au tennis également. Il s’est blesser et n’a pas put poursuivre. Je compte donc représenter la famille.

N’as-tu pas peur de te blesser à ton tour ?

Je n’y pense pas. Pour faire ce métier, il ne faut pas y penser. Mais on sait qu’elle peut arriver à tout moment.

 A quel âge à tu vraiment pris conscience que tu avais le potentiel pour devenir pro ?

L’année dernière lorsque j’ai commencé  à enchainer les bonnes performances et gagner des tournois.

N’es-ce pas trop dur de concilier études plus tennis ?

Il faut beaucoup de volonté. Mes parents ne veulent pas sue je laisse l’un pour l’autre. C’est difficile mais c’est ce que je veux.

Combien de temps t’entraines-tu par semaine ?

Huit heures par semaines. 1h30, chaque jour, sans compter les matchs officiels. Si je pouvais, je jouerais 4h par jour ! Le tennis c’est ma vie.

Quels sont les plus grands sacrifices que tu fais pour le tennis ?

Je ne me couche jamais après 21h30 pour la récupération. Je ne vais donc jamais à des anniversaires de mes amis. Il est aussi très difficile de rencontrer de petites amies. Mais j’espère qu’avec le temps...

N’as-tu pas peur de grandir trop vite ? De ne pas profiter ta jeunesse ?

Franchement, je ne sais pas. Je n’y pense pas. Je sais que je n’ai pas la même adolescence que mes camarades. Je joue ma carte à fond. Je ne veux pas avoir de regret. Si cela passe, je serais le plus heureux du monde. Sinon… Je ne veux pas y penser.

Des sponsors se sont déjà renseigner sur toi ?

Pas réellement. On m’a fait des approches mais je n’ai encore rien signé. Mon père s'occupe du côté extra-sportif.

Ou te vois-tu dans dix ans ?

Dans le top 10 prenant la place de Gasquet et de Tsonga dans le cœur des français. Une femme et des enfants à mes côtés.  Sinon je me verrai bien vétérinaire si cela ce passe mal coté tennis.

Propos recueillis par Jérémie Fertouc

18 janvier 2009

DUR DUR D'ETRE RAMASSEUR

h_2_1197975_1211719722_1_7000 enfants passaient ce weekend les sélections pour devenir ramasseur de balles à Roland Garros. Leurs qualités physiques et d'adresse sont mises à l'épreuve. Seul 300 d'entre eux seront présents sur les courts en juin prochain.

Être ramasseur de balles à Roland Garros n'est pas de tout repos. Courir vite, être adroit et vif sont les qualités nécessaires à tous ces bambins pour pouvoir faire partie du plus grand tournoi de tennis en France. Les sélections sont rudes et demandent beaucoup d'efforts. « le petit, il faut qu'il soit à 100 à l'heure tout le temps » explique Rida Bensalah responsable du recrutement de ces jeunes pousses. « C'est dur, très physique parce qu'il doit être à fond tout le temps sans se fatiguer » explique-t-il. Pour évaluer leur compétance, de nombreux tests leur sont proposés. Les exercices d'adresse où il faut bien faire rouler là balle ou la mettre dans un panier après un rebond sont très techniques.

Mais le plus dur reste la partie physique. Amine, 14 ans témoigne : « C'est très dur physiquement. Il faut se baisser, ramasser et repartir vite. Ca demande beaucoup d'énergie. » et lorsqu'on lui demande si tout c'est bien passé pour lui, il répond éssouflé : « je suis parti trop vite et j'ai eu beaucoup de mal à finir. C'est vraiment creuvant. »

Car ces jeunes ados n'ont pas encore la « caisse » suffisante pour multiplier les efforts. L'une des conditions requises pour être selectionné est la taille. « La qualité d'un ramasseur de balle c'est d'être petit » insiste Rida Bensalah, « Il faut qu'on ne les voie pas. Même si ils font beaucoup de choses... »
une multiplication des tâches dûe à la transformation du tennis. En effet, aujourd'hui les joueurs veulent tout avoir sur le court. Ainsi il n'est plus rare de voir un ramasseur donner une serviette au tennisman ou encore lui faire de l'ombre avec un immense parasol.

Parfois même, les petits ramasseurs jouent un rôle prépondérant dans un match. « Une fois, un joueur était complètement dépassé » raconte Rida Bensalah, « l'un des garçons en lui amenant les balles lui a dit de se bouger un peu plus. Véxé, le champion s'est rebélé et a gagné le match. En conférence de presse, il avouera que sans le gamin il aurait perdu. ». Etre ramasseur de balle à Roland Garros nécessite donc d'être polyvalant. Car en plus des efforts physiques, ces ados peuvent même servir de coach aux joueurs. D'où la difficulté des sélections. Mais être sur les courts en compagnie des Nadal ou autre Federer se mérite. Alors peu importe la rudesse des épreuves, tous se sont donnés à fond pour accéder à leur rêve.

Bastien SCHAMBILL

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